Beauty and the Beast

Beauty and the Beast

beauty_and_theBeast_montrealBeauty and the Beast de Disney raconte la classique histoire de Belle, une jeune femme vivant dans une petite ville, et celle de la Bête, qui s’avère en réalité un jeune prince victime d’une malédiction jetée par une sorcière. Si la Bête apprend à aimer et à être aimé, la malédiction prendra fin et il retrouvera sa véritable apparence. Mais son temps est compté… si la Bête n’apprend pas cette leçon de vie sous peu, son entourage ainsi que lui-même seront condamnés pour l’éternité.

Équipe de création :
Tim Rice / Howard Ashman (Paroles)
Linda Woolverton (Livret)
Alan Menken (Musique)
Rob Roth (Mise en scène)
Matt West (Chorégraphies)

Distribution :
Emily Behny (Belle)
Carter Lynch (Beast)
Logan Denninghoff (Gaston)
Jimmy Larkin (LeFou)
Julia Louise Hosack (Mrs Potts)
Michael Haller (Lumière)
James May (Cogsworth)
Jessica Lorion (Babette)
William A. Martin (Maurice)
Jen Bechter (Mme de la Grande Bouche)
Noah Jones (Chip)
Matt Kopec (Monsieur d’Arque)

Ensemble – swings :
David Baur, Andrew Betz, Christie Scwartzman, Skye Bronfenbrenner, Jeff Brooks, Carly Casey, Brittany Conigatti, Amanda Grace Holt, Kyle Dupree, Brian Kess, Kolby Kindle, Caroline Kittrell, Matt Kopec, Lauren Palmeri, Mandy Striph, Michael Whitney, Caitlin Leary.

Montreal
24 avril 2012
Salle Wilfrid-Pelletier
Parterre : L-26

Critique :

Beauty and the Beast de Disney raconte l’histoire de Belle, une jeune femme vivant dans une petite ville, et celle de la Bête qui s’avère être un jeune prince victime d’une malédiction jetée par une sorcière. Si la Bête apprend à aimer et à être aimée, la malédiction prendra fin et il retrouvera sa véritable apparence.

Beauty and the Beast est peut-être l’un de vos dessins animés préférés ; la comédie musicale suivra sans doute ce même chemin. Le passage de l’écran à la scène est un pari réussi : une profusion de décors plus colorés les uns que les autres, que ce soit le village et ses maisons cartonnées, l’intérieur du château de la Bête avec ses escaliers amovibles qui se transforment au gré des scènes, ou encore les costumes flamboyants et colorés qui attirent l’œil des spectateurs. Cette comédie musicale est née sous la bonne étoile d’Alan Menken qui a composé une musique extraordinaire et agréable.

La troupe, constituée de plus de trente comédiens, enchante le public avec ses numéros parfaitement harmonisés. La scène où le suffisant Gaston, l’indestructible et arrogant séducteur interprété par le très talentueux Logan Denninghoff, offre un numéro de « chope de bière » est à couper le souffle. Même enthousiasme pour la scène de « Be our Guest », très animée, même si elle semble, à notre avis, beaucoup trop courte. Dans Beauty and the Beast, on retrouve à foison des numéros de cette qualité. En revanche, nous avons ressenti une certaine déception en ce qui concerne Carter Lynch (Beast). Sa voix forte et juste vient nous chercher dans « If I Can’t Love Her » mais cela se gâte au niveau du jeu où on ne sent pas sa fébrilité ou même sa rage d’être une « Bête ». Emily Behny offre, quant à elle, une « Belle » des plus chevronnées, très charmante avec un timbre de voix mélodieux.

Beauty and the Beast est un spectacle attrayant et amusant. Vous y passerez un très bon moment accompagnés de vos enfants, petits-enfants, ou même entre adultes. C’est un spectacle d’où vous sortirez avec le sourire aux lèvres et, dans la tête, des airs captivants, certains devenus célèbre grâce à Céline Dion.

(Représentations en anglais)

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